N'étant absolument scientifique, il est toujours bon pour moi de tenter de me documenter. L'article ci-dessous a, au moins partiellement, permis d'éclairer ma lanterne, même si les données scientifiques expliquées ont exigé de m'accrocher pour comprendre (je suis bien plus à l'aise avec la Littérature qu'avec la Science).

Triple parrainage pour cet article : j'ai pu satisfaire ma curiosité, j'ai découvert que je souffrais d'ignorance, et j'ai mieux compris qu'il fallait se soucier davantage du climat.

https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/oui-la-vapeur-d-eau-est-un-gaz-%C3%A0-effet-de-serre-et-impact-sur-le-r%C3%A9chauffement-climatique/ar-AA18SPuL?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=49aa637d22c04df89e20c7216c68e95f&ei=76

Une nouvelle fois, un époux a trucidé son épouse. Il l'a égorgée. C'était ce matin dans le 12ème arrondissement de Paris. Je veux bien que le mariage requiert fidélité, amour et tout le bataclan. Mais de là à oublier qu'une femme a une vie propre qu'on puisse la rayer peut rayer du jour au lendemain, il y a un pas de franchi que je ne peux ni concevoir, ni accepter. Oui, la vie de couple n'est jamais un paradis éternel. Rien que de très normal : chaque personnalité peut, un jour ou un autre, déplaire au conjoint (ou conjointe) pour des motifs le plus souvent futiles. Est-ce pourtant normal qu'on s'en prenne physiquement à l'autre, et surtout l'assassiner ? Bien que sûr que non ! Les mésententes, ce peut être du quotidien, généralement pour des motifs futiles : un mot mal compris, une phrase mesquine lancée parce qu'on est en rogne, en bref, les motifs sont  généralement insignifiants. L'incompréhension ou le refus tout bête de tenter de comprendre ce que dit l'autre, la jalousie parce que Madame ne veut pas rejoindre sa moitié au lit  ou parce qu'il y a eu des propos incompris...

Ces meurtres semblent se multiplier, c'est dire si notre société elle-même est malade. Un grain de poussière oublié qui déclenche une colère telle qu'on en vient à une confrontation sanglante ? Peut-être. Ou pas. Toujours est-il qu'il y a jamais (à ma connaissance), de meurtre d'un mari. Ce sont les seules femmes qui subissent cet ultime outrage. Les circonstances actuelles, après cette pandémie, les nouvelles lois (notamment celle des retraites) seraient-elles le déclencheur de cette furie assassine ? C'est vrai que la vie de couple n'est jamais simple et peut déclencher des réactions violentes. Un grand principe à mettre en branle à la moindre anicroche : se parler, poser les problèmes sur la table, tenter de faire comprendre à l'autre que la vie quotidienne se compose d'entente et de mésententes. Il faut savoir écouter l'autre. Et admettre que chacun dans le couple peut avoir d'autres désirs ou idées qui n'emportent pas l'adhésion de l'autre. En bref, il faut savoir négocier, parlementer, dénoncer ce qui ne va pas, mais calmement.

Poutine s'est rendu à Marioupol, mais de nuit. Donc discrètement. Il a tellement la trouille d'être dézingué qu'il opte pour qu'on ne sache rien de ses déplacements. C'est vrai qu'il est tellement détestable qu'un individu exaspéré pourrait le mettre en joue. Parano à l'extrême, mégalo, tyrannique, violent, suspicieux, menteur,  il surveille tout le monde, sans oublier ses arrières bien évidemment. Son surnom ? L’œil de Moscou. Sa crainte d'être assassiné le met aux aguets car, malgré sa garde rapprochée et surtout fort nombreuse et surarmée pourrait ne pas être à même de repérer un potentiel assassin. C'est vrai que, très souvent, les dictateurs ont connu une fin pas très glorieuse pour ne pas dire infamante.  Zigouillés devant les caméras pour un certain Saddam Hussein... qui n'est qu'un exemple connu justement parce que rien n'a été caché. Une fin misérable que d'autres ont sans doute également connue sans qu'on le sache officiellement  ou parce que les exécuteurs ne s'en sont pas vantés.

Toujours est-il qu'il figurera dans les manuels d'histoire mais que la vérité de son règne sera enfin entièrement dévoilée (les historiens adorent consulter de vieux documents et font remonter des tragédies longtemps tenues secrètes).

Il faudrait que le tout-venant acquière une voiture électrique. C'est bien joli, mais mieux vaut avoir des liquidités en nombre tant le prix est exorbitant. Ce n'est pas le seul problème que pose cette voiture nouveau genre. En effet, il semble que ce ne soit pas le chauffeur qui soit responsable quand un incident se produit, mais bien la conception même du véhicule. La fameuse Tesla fait régulièrement parler d'elle parce qu'apparemment, toute électrique qu'elle soit, même si elle est performante, quelque chose vient démentir sa fiabilité. En effet, on ne compte plus les accidents de ces véhicules dont le contrôle échappe au conducteur. C'est tout juste s'il peut toucher le volant pour braquer et éviter une collision ou atterrir sur une plate-bande.

Le tout électrique (dont le coût n'est pas des moindres) n'est sans doute pas la solution pour les nigauds que nous sommes : normalement, le conducteur maîtrise son véhicule. Or, avec la Tesla, ce n'est plus lui qui pilote, mais la voiture elle-même. Oui, je sais, j'exagère, mais alors comment expliquer les accidents, sinon par une défaillance de la conception et donc de la construction ?

De tous temps, l'homme a joué à l'apprenti-sorcier. Avec plus ou moins de bonheur. Pour ce type d'engin, sans doute faudrait-il revisiter toute la conception pour comprendre comment elle peut échapper à la conduite humaine. Et, en quelque sorte, adopter un comportement erratique dangereux pour celui qui conduit et les éventuels urbains trottant ou trottinant sur les espaces réservés aux quidams pédestres.

Le seul avantage qu je vois dans ce type de voiture, c'est qu'elles sont silencieuses. Mais c'est également un handicap pour les piétons : quand on traverse une rue, mieux vaut être sur ses gardes avant d'entreprendre de rejoindre le trottoir d'en face. Et pas qu'une fois, même au milieu de la voie, l’œil doit rester attentif puisque selon la vitesse, celle qui débouche dans votre dos va très vite vous rejoindre et vous envoyer valdinguer parce que vous n'avez pas d'yeux dans le dos. A moins qu'on invente un rétroviseur spécial réservé aux piétons....

Que va-t-il se passer d'ici quelques jours ? Vu la colère des anonymes et l'attitude froide du pouvoir face à la contestation, on ne peut présager de rien. Toutes les hypothèses sont sur la table après le chahut dans l'hémicycle, et le jeté froid du 49.3 suivi du silence présidentiel. Depuis, il y a eu le dépôt de deux coups de semonce de la part et du RN et d'un LR qui a astucieusement rendu une copie paraphée par des transpartisans (il fallait l'oser). Une première depuis qu'on est dans la 5ème république (peut-être faudrait-il en changer... ?). Difficile de savoir où l'on va, mais ces motions de censure ne prédisent rien de bon, sans compter que la rue est toujours en branle pour contester et la retraite et le 49.3. Le fusible du président devrait sauter, mais il est possible qu'elle soit reconduite (sait-on jamais...).

L'époque est secouée de séismes inattendus qui perturbent toute la logique du pouvoir et tourneboulent l'esprit des citoyens.

On n'est pas sortis de l'auberge (qui n'a rien d'espagnole). Il est quasi impossible de se figurer les lendemains qui s'annoncent. Ils seront vraisemblablement tourmentés : le ras-le-bol contre ce qu'il se passe ne faiblit pas. Tout engage à ce que la colère ne s'épuise pas. A moins qu'il y ait une parole présidentielle apaisante. Il lui faudra bientôt - peut-être - des neuroleptiques pour rassembler ses esprits et en terminer avec une situation dangereuse pour le pays (elle est tellement chaotique qu'on ne peut présumer de rien).

Cette affaire ne pouvait pas tomber plus mal : l'ébullition populaire est faite d'une colère trop longtemps rentrée et qui déborde avec une violence inouïe.