à l'encontre de Loukachenko décidées par l'Europe. En réaction aux exactions politiques de ce dictateur biélorusse. C'est la suite du détournement d'un avion vers Minsk pour faire arrêter un opposant au régime. Un vote à l'unisson pour une fois. Pas trop tôt. Sept sociétés appartenant à l'entourage proche de Loukachenko ont vu leurs avoir gelés : services financiers et d'assurances, embargo sur des produits pétrochimiques, potasse et  livraisons de tabac. Et ce n'est pas tout : tout nouveau prêt bancaire à l’État, à la banque centrale et aux banques et entités détenues en majorité par l’État sera également interdit.

Pas de doute , en touchant au portefeuille biélorusse, l'Europe crée un précédent notoire : "Il faut désormais toucher le régime, les oligopoles d’État liés à Loukachenko, et le moins possible les intérêts européens et la population biélorusse".

Qui plus est, l'Europe a convaincu le Canada, les USA et le Royaume Britannique de se joindre à la coalition anti-Loukachenko. Une grande première, ces états étant particulièrement frileux sur le plan international.

Reste à savoir quelle sera la réaction du sieur Poutine...

Oui, je sais, j'aime râler, mais voilà que ça déconne de plus en plus sur une plate-forme où j'ai mes habitudes de commenter. Entre "je ne suis pas un robot" qui refuse d'être utilisé et les "images à cocher" pour certifier qu'on n'est pas un robot, je viens de vivre une expérience inouïe : impossible après moult essais de cochage des images de vélos ou de radar ou de feux de circulation, la bébête refuse de se conduire normalement. Exaspérant. Au bout d'une dizaine de ces plaisanteries ridicules, j'ai renoncé à déposer mon commentaire. 

A quoi pensent les sombres crétins qui gèrent ces outils ? Seraient-ils pris de folie ? Ou bien sont-ils incapables de modérer leurs essais de modification des normes ? A moins qu'il ne s'agisse encore d'autre chose (toutes les possibilités sont sur la table). A moins qu'il ne s'agisse d'un ver quelconque qui sclérose la plate-forme... ou d'un piratage en règle par X... ou Y...

Aïe, aïe, aïe, ça va faire mal. Il semble que l'Argirc-Arrco envisage de réduire la voilure du versement des complémentaires. Les complémentaires, à cause de ce fichu virus, du chômage partiel et le reste ont induit, pour cause de cotisations non versées, un déficit de 4,5 milliards d'euros.

Conséquence, syndicats et patronat doivent se réunir afin de décider de réduire les prestations des retraités. Déjà que la hausse ne suivait pas le coût de la vie, si les pensions sont gelées, ou pire, baissées, l'argument que les retraités ont moins subi les effets de la crise est avancé. En clair, cela signifie que le gel est déjà programmé et ce, jusqu'à ce que les comptes soient revenus à la normale.

Moralité : quand on est vieux, on a moins de besoins (encore que... vu les possibilités de maladies engendrées par le grand âge...). L'avenir du grand âge est radieux... Ouste du balai ! Dehors les centenaires potentiels, et surtout n'oubliez que vous n'êtes pas de la première utilité : vous coûtez trop cher car improductifs.

... de sortir pour accomplir le devoir citoyen : ça tonne dur et ça tombe dru. Ce soir, pas besoin d'arroser les plantes.

Il faisait si chaud ces derniers jours que c'en était devenu insupportable. Même en absorbant de l'eau en quantité non négligeable, j'avais l'impression d'être dans un étau qui se resserrait. Même la douche ne changeait rien à cette pesanteur productrice de moiteur. Béni soit donc le ciel qui s'éclate en gouttes serrées et tant pis si la luminosité diurne ressemble davantage au crépuscule qu'à ce qu'elle était encore hier à la même heure. Si je dois sortir, je n'aurai pas à serrer les murs et opter pour des itinéraires étouffants.

Avant que la pluie ne s'abatte, j'ai cueilli les cinq dernières fraises qui ont eu le courage de s'épanouir dans ma jardinière.

Hulot ressort et tacle les imbéciles qui refusent l'éolien. même les maires, influencés par leurs administrés, se mettent sur les rangs pour refuser qu'on implante des éoliennes. parce que ça gâche les paysages. Certes, on les voit de fort loin, mais ce n'est qu'un prétexte facile que de n'en pas vouloir. Après tout, l'électricité nous permet de jouir des techniques avancées sans lesquelles nous n'aurions pas de frigo, d'ordinateur ou de cafetière électrique. Il semble bien que ces géantes déplaisent alors qu'elles permettront de profiter de tout sans consommer du nucléaire ou du charbon.

La population semble bien versatile : il suffit de quelques irréductibles pour embarrasser les mairies. Car, enfin, on ne veut bien des éoliennes, mais à condition que ça ne gâche pas notre paysage... Un critère abscons : depuis toujours nous avons eu sous les yeux des pylônes qui, armés de câbles conducteurs de l'électricité, gâchaient les routes même éloignées des grands centres urbains. Quant aux centrales, si elles disparaissaient, ce ne serait pas un bien grand mal (elles restent dangereuses à cause de fuites possibles, d'explosion ou d'incendies).

Ces éoliennes sont aujourd'hui les moulins à vent d'autrefois. Alors, supprimons la fée électrique et retrouvons les bonnes vieilles chandelles qui empuantissent l'atmosphère du logis.