Deux ans (ou presque) que l'on n'entend rien de réjouissant. De quoi désespérer ? Sans doute. Et pourtant, malgré tout, malgré le matraquage quotidien qui se répète à l'infini, nous sommes encore là. Une autre manière d'exister ? d'extrapoler l'avenir ? de fuir la réalité ? C'est vraisemblablement un peu de tout cela qui nous permet de maintenir le cap, de passer d'un jour à l'autre comme si de rien n'était.

La pesanteur actuelle pousse au renfermement sur soi-même. C'est vrai quoi, comment ne pas sombrer dans la déprime alors qu'on ne voit aucune lueur pointer à l'horizon ? Existe-t-il une échappatoire au marasme ambiant ?  Les litanies quotidiennes à propos d'un virus plus malin qu'une fratrie de singes sont autant de pousse-misère. Alors, la léthargie est-elle concevable ? Ah dormir jusqu'à la résorption intégrale de ce maudit invisible qui n'a de cesse de narguer toutes les couches de la société... Le durcissement des préconisations étatiques quant à notre liberté de mouvement est en marche. La santé avant tout. Nos grands penseurs oublient un peu trop facilement que ce n'est pas en nous imposant telle ou telle directive comportementale que les problèmes inhérents à chaque individu seront résorbés.

On est en droit de se poser la question de la vaccination : ci-dessous un article intéressant sur le sujet. On peut également se demander si l'homme ne serait pas qu'un apprenti-sorcier qui jouerait un peu trop à se faire peur et à faire peur...

https://planetes360.fr/article-a-lire-la-part-epidemiologique-de-la-population-vaccinee-dans-la-transmission-de-la-covid-19-saccroit/

L'actu est plutôt triste.

27 migrants sont morts noyés dans la Manche en tentant de rallier l'Angleterre (hommes, femmes et enfants). Ce n'est pas la première  fois que cette tragédie se produit, ni la dernière puisqu'elle se reproduira. Ce qui amène le Boris à incriminer la France parce qu'elle n'en ferait pas assez. Ben voyons ! Et lui, que fait-il ? Il semble qu'il ait contacté le chef de l'état pour lui proposer des flics anglais pour épauler la France. Ben voyons ! Nos voisins ont voulu sortir de l'Europe, ils n'ont rien à faire sur notre territoire. Sauf les Anglais qui ont doublé leur nationalité en adoptant la nationalité française (nombreux dans le sud-ouest, notamment en Dordogne).

La tentative de Loukachenko de déstabiliser l'Europe en envoyant des migrants fuyant leur pays en guerre (Liban, Afghanistan...) jusqu'à la frontière polonaise a vu les 27 resserrer leurs liens. Les pays concernés doivent reprendre leurs ressortissants. Une gifle retentissante. Ce potentat émule de la manière forte (il avait menacé de couper l'arrivée du gaz en Europe) a été désapprouvé par Moscou (dont on sait que l'Europe se méfie). L’Europe n'est pas une poubelle et n'a pas vocation à recevoir toute la misère du monde et encore moins à accepter tout et n'importe quoi de la part de n'importe qui.

Ca barde en Martinique.  Deux policiers blessés par balle, des journalistes dans le viseur des tireurs.  La France envoie des renforts musclés : Gign et Raid. Ce n'est pas mieux en Guadeloupe...

En Sibérie, des mineurs ont trouvé la mort dans une mine ainsi que des sauveteurs venus à leur secours.

L'euro tangue : un nouveau variant en Afrique du Sud inquiète les marchés. Et si les vaccins actuels ne pouvaient plus faire barrière au virus... Ca promet une récession susceptible de bousculer l'équilibre financier international...

"Dans le futur, on éliminera l'âme par des médicaments. Sous prétexte d'un "point de vue sain" se trouvera un vaccin par lequel l'organisme humain sera traité, dès que possible, éventuellement directement à la naissance afin que l'être humain ne puisse développer une pensée de l'existence d'âme et esprit. Aux médecins matérialistes sera confiée la tâche d'éliminer l'âme de l'humanité. Comme aujourd'hui on vaccine les gens contre cette maladie ou telles maladies, ainsi à l'avenir, on vaccinera les enfants avec une substance qui pourra être produite précisément de telle sorte que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés d'être soumis à la "folie" de la vie spirituelle.  Il serait extrêmement intelligent mais il ne développera pas une conscience et c'est le véritable objectif de certains cercles matérialistes. Avec un tel vaccin, vous pourrez facilement faire en sorte que le corps éthérique se détache dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l'univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable et l'homme deviendrait un automate, car le corps physique de l'homme doit être porté sur cette terre par une volonté spirituelle. Alors le vaccin devient une force arhymanique, l'homme ne peut plus se débarrasser d'un sentiment matérialiste donné. Il devient matérialiste de constitution et ne peut plus s'élever au spirituel."

Voilà un texte complètement cinglé sous lequel perce une volonté hégémonique qui ne dit pas son nom. Et dire que ce personnage a eu beaucoup d'influence... Il est le précurseur d'une dictature que les nazis ont mis en œuvre en ciblant la communauté juive, les résistants, les peu nombreux témoins de Jéhovah, les syndicalistes, en bref toute une idéologie destructrice afin d'asseoir un pouvoir malsain. En outre, ce type de texte ne peut qu'amener ceux dont l'esprit est quelque peu faible à penser que le vaccin anti-covid est une manière de les empoisonner...

Je découvre la présence d'un nouveau pronom. Et pas n'importe lequel. Iel Oui, voui, vous avez bien lu "iel". C'est quoi ce machin me demanderez-vous ? Tout simplement un mélange de masculin et de féminin, autrement dit "il + elle" ; une fois contracté, cela donne iel.  Tout aussi absurde que ce pronom transgenre, il n'apparaît qu'au singulier. Voilà qui est étrange, non ?  Donc, après l'écriture inclusive (source de tracas pour les élèves), ce bidule incongru.

Je vais donc proposer une nouvelle écriture où tout le féminin sera banni et donc de n'avoir plus qu'un seul genre, à savoir le masculin (normal, l'homme est dit "fort"). Ce serait d'autant plus logique que, au pluriel, le masculin l'emporte sur le féminin notamment dans les pronoms. Un petit exemple : l'adjectif possessif leur devient leurs au pluriel. Il ne viendrait à personne l'idée d'écrire leure ou leures quand il s'agirait d'évoquer les femmes...

Autre idée géniale : pourquoi ne pas en revenir au latin qui n'avait aucun pronom, seule la désinence du verbe permettait de reconnaître ce qu'il en était... Oui, je sais, c'est absurde, ridicule, stupide, mais pas davantage que ce pronom IEL sorti d'on ne sait où.

Certes, les langues évoluent. Le français n'est jamais qu'un mix entre le latin et le substrat local. Il y a eu francisation des mots à travers le temps puisque tout autrefois était en latin (et pas que la messe qui a abandonné le latin tardivement puisque cela ne remonte qu'au siècle dernier et que, pendant les premiers siècles, l'administration [tenue par des religieux] employait le latin après l'invasion de la Gaule par les Romain)..

Ce pronom est apparu dans "Le Petit Robert"... Le dictionnaire qui fait référence... Les bras m'en tombent...