Les armements sont une course perpétuelle entre les états les plus puissants. Il se raconte que la Russie serait en train de créer un missile sous-marin susceptible de rayer une ville comme New-York, via un missile qui engendrerait un tsunami d'une ampleur gigantesque capable de submerger toute la ville.

Du côté de la Chine dont l'appétit n'est pas moindre que celui de la Russie ou des États-Unis, on développe des panoplies entières de chars, de missiles inter-continentaux et autres armes destructrices. En ces temps troublés par la pandémie, les efforts s'accentuent malgré tout afin de parvenir à s'imposer sur la scène internationale. En montrant ses muscles, la Chine indique qu'elle règnera autant que faire se peut bien au-delà des capacités armées des autres puissances. Reconnaissons que ce pays, longtemps sous-développé sur le plan technique a rattrapé et dépassé le niveau de la puissance américaine. Le pouvoir chinois est conquérant et ce n'est pas pour rien que Xi-Jinping s'est fait élire à vie : il entend régner en maître absolu sur la planète. Il a commencé en nous fourguant des biens peu onéreux sur lesquels nombre d'entre se sont jetés sans se poser de questions. La note finale est que, pendant qu'il inondait les autres marchés, il s'armait en douce, explorait tous les domaines et créait des "biens" dont il serait le seul à disposer. Parce que derrière lui, il y a la force première : des millions d'individus qui obéissent au doigt et à l’œil.

Faut-il avoir peur de cette puissance ouvrière et de ses capacités à créer davantage que les besoins propres à son seul pays ? Faut-il craindre que le sens hégémonique d'un seul homme pourrait détruire tout ce qui n'est pas sa civilisation ?

Il y a déjà pas mal de temps, je disais que les puissances arabes ne représentaient pas un danger et qu'en revanche il fallait se méfier de l'Empire du Milieu. Je n'ai pas changé d'avis.

Angela Merkel a déclaré qu'elle ne se rendrait pas au G7, déclinant ainsi l'invitation de Trump aux USA où devrait se tenir ce rassemblement qui requiert la présence de l'Allemagne, du Canada, de la France, des USA, de l'Italie, du Japon et du Royaume-Uni.

Angela Merkel donne sa préférence à la gestion de la pandémie en Allemagne.

 Qu'en sera-t-il des autres pays appartenant à ce groupe des  7 ? S'ils avaient l'idée de faire comme la chancelière, ce serait alors une claque bien plus retentissante. D'autant que chacun de ces pays a bien autre chose à faire que d'aller discutailler comme si de rien n'était.

XI Jinping n'est pas du tout content : États-Unis, pays occidentaux, ONU tentent de faire comprendre que ce qu'il se passe à Hong-Kong ne respecte pas les accords internationaux signés lors de la rétrocession par les Anglais en 1997. Quatre pays sont sur la ligne de front : les États-Unis, le Royaume Uni, l'Australie et le Canada. Ils estiment en effet qu'il s'agit d'une manœuvre pour museler l'opposition hongkongaise et restreindre les libertés. Alors que l'accord international instituait une large autonomie, la liberté d'expression et une justice indépendante. On comprend facilement que Hong-Kong ne veuille pas "être récupéré" par Pékin.

A Washington, Trump entend réunir Le Conseil de Sécurité de l'ONU et dénoncer la particularité de Hong-Kong en supprimant tout simplement les accords commerciaux établis entre les USA et cette partie indépendante de la Chine. En ligne de mire, la banque de Hong-Kong troisième place boursière dans le monde avec laquelle l'Amérique a des accords particuliers. A cause de l'ambition de Xi-Jinping qui réfute cette autonomie. Un amendement de la loi relative à Hong-Kong  est en cours de rédaction pour intégrer cette île dans le giron chinois. Nul doute que le parlement central saura faire en sorte de brider cette contestation en imposant son point de vue, à savoir la mainmise sur Hong-Kong qui ne serait plus un satellite indépendant mais bien UN élément intégré à la grande Chine.

Un bras de fer que ni Trump, ni Xi-Jinping n'entendent perdre. Reste à savoir, alors que les USA ont besoin de l'Empire du Milieu sur le plan commercial, quelles seront les décisions des "belligérants".

Sniff ! Après les Députés, le Sénat a approuvé le traçage via les portables. Voui, voui, le Stop-Covid devient une méthode légale du traçage de la contamination. Décidément, on est prêt à tout pour tout savoir sur tout le monde. Le prétexte : cela permettra d'avertir les promeneurs qu'ils ont croisé un individu atteint du coronamachinchose. Ce qui ne signifie pas pour autant qu'ils auront été contaminés. Pour peu, en effet, qu'ils aient un taux d'immunité protecteur, ce fâcheux virus ne pourra pas squatter leur corps.

Je n'apprécie pas le style complotiste, mais cette application ne servira-t-elle que dans un cadre strictement légal ? Ce recensement existe déjà puisqu'il y a la Sécurité Sociale bien au fait des pépins de santé qui nous arrivent. Etait-il vraiment besoin de créer semblable application, non pas de dépistage mais de pistage très formel ? Serait-ce à dire que notre société se composerait de moutons blancs et de moutons noirs ?