On le savait parfaitement déjanté, mais en plus il est tellement stupide qu'il en vient à dire encore plus de conneries. Oui, je parle bien de Trumpette de la mort. Il a déclaré qu'il fallait injecter du désinfectant aux malades atteints par le coronavirus. Il sait qu'il ne sera réélu que s'il remonte le PIB du pays en remettant ses ouailles au boulot. L'économie, et les pépettes qui en découlent, il ne connaît que cela.

Plus stupide, plus dangereux, on ne connaît pas. Heureusement qu'il n'a pas fait Médecine, ç'aurait été un vrai carnage. Et pendant qu'il répand ses idées "novatrices" en matière de soins, le nombre de cas se multiplient en Amérique. 905385 personnes ayant récolté (aujourd'hui , grâce à la politique du grand manitou aux commandes de leur pays, la palme de l'infection.

Et pendant qu’il pérore tel un sage génial, les anti-confinement veulent absolument retrouver leur liberté. Des tronches lessivées en pagaille, armées jusqu'aux dents manifestent leur désir de suicide.

ou pingres...

Édouard Philippe a dit "Il faut tester vite et massivement". Bien, sage décision. Hélas, on ne va tester que ceux présentant des symptômes et donc susceptibles d'être vérolés. Quel est donc le sens de l'adverbe massivement ? M'est avis qu'il lui faut vérifier son vocabulaire : il en ignore le sens. Il va de soi que sont bien plus nombreux les individus non porteurs de cette cochonnerie. Pour l'instant, les contaminés français recensés sont au nombre de 110 000 environ (pour 66 millions d'individus). Ce n'est pas vraiment ce que l'on peut considérer comme étant massif. M'est avis qu'on est bien plus nombreux à avoir été contaminés sans présenter aucun symptôme, ce qui signifie tout simplement que, majoritairement, notre système immunitaire a joué son rôle de garde-fou.

Bref, le plus grand nombre n'aura droit à aucun contrôle. Autant d'économies pour nos finances bien plus mal en point que nous ne le sommes.

Un mal nécessaire puisque l'économie est à l'arrêt. Mais est-il logique et sain de consentir un prêt à une grosse boîte comme Fnac Darty ? D'accord, ils souffrent du manque à gagner, mais était-il besoin de consentir à cet appel et compenser leurs 30% de manque à gagner ? Ils ont les reins plus solides que de petites entreprises qui, pour la plupart, n'obtiendront rien et se verront obligées de mettre la clé sous la porte. Je ne peux comprendre et donc admettre, cette logique contraire au bon sens. Le tissu français est constitué principalement de petites boîtes qui font vivoter quelques individus. Ce sont ceux-là qu'il aurait fallu favoriser. Mais non, la politique gouvernementale est derrière ceux qui disposent d'avantages financiers. Qui, en toute logique, même s'ils sont perdants pendant une période difficile pour tout le monde, sauront se redresser plus vite et mieux que la petite entreprise de proximité. Avoir les reins solides, seules les grandes entreprises peuvent le prétendre car elles étouffent toutes les autres de moindre importance, sans complexe, et sans état d'âme. Je préfère le libraire du coin de la rue que la Fnac qui sait manipuler les prix en vendant à moindre coût ce qu'on paye plein but chez le libraire de quartier. Aider la proximité me semble justifiable et raisonnable. L'inverse est contraire à l'éthique. Mais c'est vrai que les "grands" peuvent mieux se faire entendre parce qu'ils ont pignon sur rue sur tout le territoire. Ceci explique sans doute cela.

En bref, si j'étais aux commandes, je laisserais les grands groupes se débrouiller tout seuls afin de soutenir ceux qui émaillent le quartier sans prétention d'hégémonie.

... mais qui semble remonter aux calendes grecques tant les jours s'écoulent au ralenti. Eh oui, je m'étonnais que l'OMS ne prononce pas le nom de ce qui était, de toute évidence, une pandémie. A croire que j'ai hérité d'un certain don de voyance (sans doute grâce à mon pessimisme...).

http://humeurs-en-billets.over-blog.com/2020/02/ca-fait-les-gros-titres.html

Il faut bien manger. Le créneau de une heure est un peu bref, même quand on ne va qu'à quelques pas de chez soi. La "distanciation sociale" provoque bien des embouteillages. A croire que tout le monde sort en même temps ; mais les rues sont désertes. Sauf sur le trottoir qui mène au magasin. Et pour cause, entre le mètre de distance minimale entre individus, l'entrée un à un dans l'échoppe, le temps de réunir les achats et de patienter pour atteindre finalement la caisse-enregistreuse, l'heure est vite dépassée.

Le grand n'importe quoi, après les hésitations, induit que nous sommes tous coupables de sorties prolongées au-delà d'une heure. Manquerait plus que ces embouteillages statiques sur le trottoir alertent les policiers qui viendraient fissa verbaliser ces contrevenants malgré eux. Alors faut-il se faire livrer ? Ou renoncer à se nourrir ?