Le rêve de Trump de se présenter à la prochaine élection nationale américaine s'effrite : un second état lui en interdit l'accès. Combien d'autres prendront-ils la même décision ?
Ah Trump... ! Un cas social intéressant. Le voilà qu'il prétend mettre en prison tous ses opposants s'il est réélu.
Rien que cela ? Ma foi, il peut toujours éructer des âneries plus grosses que lui si ça lui chante : ce n'est pas ainsi qu'il ralliera ses ouailles, surtout celles appartenant au parti républicain. A quoi servent ces menaces, sinon à non pas étonner, mais à désolidariser ceux qui hésitent encore à voter pour lui. En effet, ce ne sont pas les menaces qui changeront la donne, d'autant que, même si Trump prétend être candidat, il peut être opposé à un autre républicain qui a les dents bien acérées et qui entend rafler la mise contre Jo Biden. Le sieur Ron de Santis s'est fait un nom et il est davantage crédible en tant que candidat que ne le sera jamais Trump. Il va sans dire en effet que les Républicains chercheront le candidat susceptible de l'emporter et non un potentiel candidat qui a la justice aux fesses et donc plusieurs procès en vue par la suite. Après le 4 mars prochain.
Voilà un personnage qui mériterait bien une fessée retentissante et qui serait définitivement discrédité. C'est bien joli de jouer au matamore, mais encore faut-il disposer de bien des moyens, dont celui de ne pas se retrouver derrière les barreaux.
Qui cherche-t-il à impressionner ? Sa base électorale ? Son parti (ou ce qu'il en reste) ? Renvoyer le pépé de la Maison Blanche dans un camp retranché ?
Il va sans dire qu'il peut compter sur ses fans qui sont tellement bêtes qu'ils n'ont rien compris de ce personnage qui se croit tout permis et qui persiste à mentir, à faire croire que, etc... Ah si seulement l'américain moyen avait un tant soit peu de jugeote... Et prenait le temps de réfléchir à ce que fut sa présidence et le retour de bâton à cause de péripéties qui ont démontré que ce personnage oserait toujours et encore à embobiner les têtes les plus creuses car susceptibles de le considérer comme un grand homme (ce qu'il n'est pas mais laisse croire à ces "gueux" dont le QI est bien inférieur à la moyenne).
La date est connue : Trump devra se rendre devant le juge le 4 mars prochain. Aïe ! Il a de quoi être furax : il voulait que ledit procès ait lieu bien plus tard. Une évidence : il espérait que ledit procès se déroule après la prochaine élection. Or, le (ou la) juge en charge en a décidé autrement.
Il se dit que, dans la foulée de l'échéance connue dudit procès, il a déjà prévu une contre-attaque : produire très rapidement des objets et tee-shirts à son effigie (celle de son inculpation) afin de récolter des espèces sonnantes et trébuchantes. Si les américains qui le soutiennent sont assez abrutis pour l'enrichir, c'est bien le signe qu'ils ont la cervelle tourneboulée. A moins que l'admiration que les fanatiques de ce personnage haut en couleur mais faux-jeton patenté n'aient pas encore compris qu'il n'était qu'un ignoble individu qui se croit tout permis. Infréquentable donc.
De l'art de s'enrichir sur le dos des idiots dont le QI est des moindres.
Le sieur Trump se rendra à la convocation de la justice. il a annoncé qu'il honorerait le rendez-vous d'inculpation. étonnant, n'est-ce-pas ? Aurait-il changé ? Sans doute que non. Mais qu'a-t-il en tête pour se soumettre à l'ordonnance de la juge d'Atlanta ?
On dit de lui qu'il n'a jamais été condamné malgré tous les scandales qu'il se trimballe depuis des années. Il va sans dire que ses avocats sont triés sur le volet, payés une fortune, et le défendront bec et ongles aiguisés.
La question est désormais : que sortira-t-il de cette audience que les médias s'empresseront de suivre et de commenter ?
Il est rare qu'au réveil, on ait droit à un moment "jubilatoire" (mais sans excès). Je viens de découvrir un article dont rien que le titre ne pouvait que retenir mon attention : "Trump inéligible..."Tiens donc !
Voici l'article qui évoque ce sujet que le cher homme en question qui se voit déjà refleurir sur la scène internationale (comme chacun le sait, son orgueil est démesuré).
Trump est victimiste. Ben oui ! Mal lui en prend puisque la Constitution étasunienne a tout prévu. L'article ci-dessus est très éclairant. Il va encore clamer que l'on s'acharne contre lui alors que nombre de républicains sont tentés par un second mandat trumpien et contre un second mandat de Biden.
Oui, il y a du jubilatoire à prendre connaissance un peu plus en avant ce qu'est la constitution américaine. A cela s'ajoute qu'il s'agit de deux républicains très conservateurs qui ont exhumé ce point dont on n'avait jusqu'alors jamais entendu parler. On ne peut que féliciter les rédacteurs de la constitution américaine qui, semble-t-il, avaient anticipé tous les scénarios possibles.
... l'inculpation de Trump.
Le voilà derechef sur le devant la scène. Mais certainement pas pour lui faire plaisir. Avoir tenté de modifier le résultat de la dernière élection, tel est le motif. Il encourt la prison (jusqu'à 25 ans). Vu son âge, s'il est condamné, il ne restera pas aussi longtemps en prison (cf. son âge lui épargnera une bonne partie de cet emprisonnement).
Décidément, Trump a la scoumoune.
C'est du Trump tout craché : prétendant se représenter lors de la prochaine élection présidentielle, voilà qu'il ressort de ses vieux cartons l'idée de ne plus accorder systématiquement la nationalité américaine à tout citoyen né sur le territoire des USA. Selon lui, il n'y a jamais eu un tel afflux d'étrangers que depuis que Biden est en charge de la nation.
Hum ! Il oublie le principe de base de cette nationalité inscrite dans la Constitution (1898). Quand on sait que le sol américain est né après la guerre de sécession et fut réalisé étape par étape, donc avant que n'existe la Constitution : cela a permis d'intégrer l'un après l'autre les différents territoires.
En bref, Trump reste Trump. Surtout qu'il veut procéder par décret. Hum, et revisiter la Constitution ? Il n'en a pas le pouvoir. Mais est toujours le Trump du mandat précédent.
Un car de touristes chinois aurait approché une base américaine. Forte réaction à cette nouvelle : il se raconte que ces chinois se seraient déguisés en touristes pour s'infiltrer sur une base américaine.
Paranoïa ? Ou bien réalité ? Il est vrai qu'il y a déjà eu des ballons-sondes envoyés dans les airs par la Chine qui sont aller rôder autour de sites stratégiques, voire militaires. Les USA en ont descendu un qui s'approchait trop près des côtes (il est encore en cours d'examen par des experts).
On sait que tous les pays ont des espions chargés de reluquer ici ou là, mais il semble que certains ne soient pas tout aussi innocents qu'ils paraissent.
On a tous compris qu'il se joue en ce moment des événements dont on n'apprendra que tardivement l'existence. Certains ne sont même jamais révélés. Secret-défense sans doute...
La conjoncture économique et politique est favorable à des événements insupportables. La tension aux USA était à son comble : la banque centrale américaine accepterait-elle de proroger les finances accordées au pouvoir central ? Les hésitations, ainsi que les tentations, étaient nombreuses : consentir à ce que Biden puisse bénéficier,via une allonge substantielle, de la trésorerie n'était pas gagné d'avance. En effet, un président doit se battre et surtout convaincre qu'il faut lui permettre de proroger la dette. Finalement, après bien des hésitations, le congrès a fini par desserrer les cordons de la bourse. Relever le plafond de la dette est une solution, la seule qui puisse permettre de poursuivre, notamment la livraison d'armements à l'Ukraine, les indemnités salariales....
Si le relèvement du plafond de la dette n'avait pas eu lieu, non seulement les USA auraient sombré dans la récession, mais surtout aurait entraîné avec ce refus l'ensemble de l'Europe et vraisemblablement d'autres pays. On peut deviner aisément le ouf de soulagement des trésoreries occidentales : si le dollar s'effondre, il entraîne dans son sillage les autres monnaies. Déjà que la situation n'a rien de mirifique, nous nous serions retrouvés dans un sale pétrin.
Tout ne va pas très bien dans ce monde, mais pour une fois, on est à même de poursuivre notre route sans avoir à craindre un effondrement de notre monnaie.
Non seulement il faut subir le contrecoup de la guerre en Ukraine déclenchée par Poutine, mais également le choc possible d'un bouleversement financier. Si le plafond de la dette américaine n'est pas relevé, les USA risquent fort de reproduire ce qu'il s'est passé en 2008. Un choc qui a tout bouleversé et pas qu'en Amérique du Nord. Alors, 15 ans plus tard, rebelote ?
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