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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 20:16
Entre la majorité et l'opposition, ça ne cesse de se lancer des fions par vidéos interposées. La majorité a commencé les hostilités, l'opposition a tout aussitôt riposté. Ca devient vraiment du n'importe quoi ces duels de partis qui n'en finissent plus et qui jouent à la guerre de tranchées, chacun des partis défendant son bifteck. Par pure curiosité, j'ai zieuté chacun des spots. C'est d'un navrant... !
N'ont-ils donc rien à faire nos chers députés qu'ils passent leur temps à se narguer ? N'est-il pas des problèmes plus graves à traiter que l'influence de l'un ou de l'autre ? Comme si la crise que nous vivons ne suffisait pas. Avons-nous besoin qu'ils se chamaillent comme dans une cour de récréation ?
Je l'admets, la majorité a tendance a se croire tous les droits et veut imposer son point de vue. C'est de bonne guerre. Cependant, il faudrait peut-être être un tant soit peu sérieux. Ce n'est pas en affichant une morgue insupportable que la crise se résorbera. Ce n'est pas en attaquant bassement l'opposition par le truchement d'un montage sous prétexte que ladite opposition joue son rôle qui est bien de s'opposer que cette guéguerre se terminera. Comment donc est dirigé le royaume si ceux qui sont censés le représenter et le conduire sur des chemins meilleurs s'amusent dans l'hémicycle ? Sont-ils donc seulement des potaches revanchards ?
L'opposition joue son rôle même si elle abuse de trop d'amendements sur chaque réforme mise en chantier. Soyons un peu sérieux : on ne peut nier, puisque c'est une évidence, que le royaume est en mal en point et qu'il faut trouver une porte de sortie honorable. Il y va de la survie de chaque serf embringué dans une sale histoire et qui ne cesse de trinquer parce que ces beaux messieurs de la majorité veulent museler une opposition affaiblie par des dissensions internes. En outre, parce que la majorité abuse de son pouvoir, une loi n'est n'est pas encore votée que déjà elle met en application sans que le sénat ait dit son mot. Cela  s'appelle de l'abus de pouvoir. Cela s'appelle du fascisme.
Apparemment, la démocratie à la française est bien défunte. Et quand la vidéo s'en mêle, cela devient franchement du n'importe quoi, mais du n'importe quoi de très dangereux.
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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 12:41
Le roi peut toujours gesticuler, parler fort, avoir des idées toutes plus géniales les unes que les autres, les serfs, dans leur grande majorité, sont mécontents. Eh oui, plus de la moitié du royaume est pris de grogne et dénonce les réformes entreprises à la va vite et sans concertation. Et puis, ils sont plus de 60% à craindre pour leur situation économique car leurs finances s'épuisent mois après mois.
Eh oui, on met 10 ans à mettre quelques sous de côté et vlan, dès qu'on touche au pot, l'épargne s'effondre en bien moins de temps qu'il n'en a fallu pour l'amasser. Disons, pour parler juste, qu'en moins d'un an, les euros épargnés année après année se sont envolés car il fallait bien boucler le budget. Les fins de mois sont de plus en plus difficiles, on rogne sur tout, on lésine ici et là, histoire de ne pas avoir de dettes. Bref, on se prive toujours plus parce que l'appétit des gros s'est tellement développé qu'ils ont tout rongé.
Or donc, le roi fait des mécontents parce qu'il n'a pas su abaisser son regard vers ces serfs besogneux qui ne font que survivre alors qu'ils désirent tout simplement vivre. Ah ouiche, il peut multiplier ses interventions, il peut présenter ses voeux d'un ton grave mais avenant, il peut prétendre avoir tout compris et souffrir avec ses serfs, il reste tout de même enfermé dans sa bulle de grand du royaume à qui ne manque rien. Ses regards n'effleurent même pas cette masse grouillante de souffreteux, ces presque mendiants qui bientôt iront en haillons grossir la file d'attente des associations charitables.
Bizarre quand même que le roi ne se remémore pas que le peuple de France s'était rué jusqu'à Versailles parce qu'il avait faim.
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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 20:16
Nouveau chantier à boucler avant le mois de juin : comptabiliser les SDF permanents ou occasionnels afin de mettre au point un plan d'aide par temps de grand froid.
Décidément, la cour du roi se lance à fond dans des réformes structurelles sur n'importe quel sujet à condition qu'il soit à la mode du jour. Et comme il fait vraiment froid, ça tombe bien, ça rend intéressant, ça prend le visage de la compassion.
Et si, au lieu d'avoir l'air d'agir dans le bon sens, on se préoccupait tout au long de l'année de ces exclus des circuits classiques, sans toit au-dessus de leur corps gelé en hiver, souffrant de la canicule quand elle est là, sans frigo pour y mettre sa bouffe trouvée sur les marchés, sans revenus qui leur permettraient de vivre plus dignement, sans boulot parce que la crise ne date pas d'hier ?
L'étalage de tous ces bons sentiments est écoeurant, ils sont mal venus et sont  autant de faux-semblants pour faire figure de gens de bien. Les associations caritatives ne manquent pas qui doutent de l'efficacité de ce branle-bas de combat contre la misère. Et pour cause, elles luttent depuis des années pour que ces "clochards", purs produits d'une société qui se délite, aient un statut en tant qu'individus. La reconnaissance d'une misère consécutive à l'ultra-libéralisme ne peut se contenter de bonnes intentions (l'enfer lui-même est pavé de bonnes intentions dit-on,) encore moins de projets fracassants et soi-disant innovants.
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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 12:51
Au moment où le gouvernement pense arborer sur les paquets de cigarettes,des images fortes, censées dégoûter les fumeurs, voilà que le prix du tabac à rouler chute de quelques centimes. Quelle est la tranche de la population qui fume le plus couramment des cigarettes roulées ? La jeunesse. Plutôt contradictoire comme mesure et surtout comme pensée politique : l'état perçoit les taxes du tabac et le prix d'un paquet est si largement taxé que le buraliste doit en vendre un sacré paquet pour que son chiffre d'affaire soit correct.

Le coup des images-choc apposées sur les paquets de tabac influencera-t-il les comportements ? Pas du tout assuré.
Mais si tous les fumeurs, du jour au lendemain,  convaincus par cette campagne, cessent de se droguer au tabac, quelle perte sur le plan économique ! Et pas qu'un peu. Non seulement les finances de l'état connaîtraient une baisse sensible, mais les répercussions seraient diversifiées. Les producteurs de tabac, les usines de transformation de ce produit, les buralistes perdraient leur emploi. En temps de crise, ça la foutrait mal. Mais pas uniquement eux puisque les "produits dérivés" de l'industrie du tabac se nomment toubibs, infirmiers, et tout ce qui touche à la santé. Un arrêt général de l'usage du tabac induirait en effet une autre crise économique à cause des emplois hospitaliers perdus par contrecoup. Ce ne sont pas en effet les économies enregistrées alors par la sécu qui financeraient le chômage consécutif à la prise de conscience collective.

Arrêtons donc cette hypocrisie autour du tabac dont tout le monde sait que "Fumer tue", rend infertile et autres conséquences médicales du tabagisme actif ou passif ! Si la volonté politique était de faire prendre conscience des dangers que l'on court en fumant et en enfumant les autres, il cesserait d'empocher pour lui les dividendes de ce poison pour le reverser au corps médical et la sécu.
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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 10:39
Il va sans dire que l'esprit partisan sera toujours l'esprit partisan. A lire absolument le courrier de BHL paru dans un journal français. Il y expose son point de vue du conflit israélo-palestinien, bien différent de la perception que monsieur tout le monde peut en avoir. Peut-être a-t-il raison de développer comme il le fait une thèse selon laquelle l'état d'Israël n'a d'autre raison dans cette guerre que d'assurer à son peuple sa protection. Entre autres arguments avancés : Israël est depuis toujours harcelé par des tirs en provenance de Gaza. Malgré cela, il aurait fait preuve de beaucoup de retenue et ce ne serait que contraint et forcé qu'il se serait enfin résolu à engager une action militaire dure. Les tirs israéliens ne viseraient que des objectifs militaires alors que les tirs palestiniens ne viseraient que des objectifs civils (c'est oublier un peu vite cette école où des dizaines de palestiniens avaient trouvé refuge sous l'égide de l'ONU).
La population d'Israël vivrait perpétuellement terrée dans des caves, terrifiée par le déluge des obus, vivant dans la peur au son des explosions. Et la population palestinienne ne vivrait pas la même vie avec l'opération Plomb durci ? Où sont les civils de Gaza sinon dans des refuges, terrorisés par le bruit du canon, assoifés, affamés,  sans que les enfants puissent aller à l'école, sans vraiment pouvoir se soigner, vivant dans le noir ce cauchemar qui dure depuis 3 semaines ? Et l'opération actuelle est-elle la seule entreprise par Israël pour faire taire les palestiniens ?
L'offensive ne serait que la conséquence engendrée par une politique extrémiste palestienne qui se servirait de la population comme d'un bouclier humain. On ne peut pas nier, effectivement, que le Hamas semble justifier son discours du "toujours plus de martyrs" pour sa sainte cause en appelant à la guerre contre Israël.
Entre les deux politiques menées par ces états, laquelle peut trouver une justification ? Aucune des deux ! Ce sont, quel que soit le côté de la barrière, toujours des innocents qui satisfont l'appétit de puissance des états.
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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 21:39
La situation est bloquée. Israeël a rejeté le cessez-le-feu du l'ONU. Qui est encore étonné de cette position ? C'était inéluctable. Ce pays formé par les accords entre les grands de ce monde ne peut pas admettre qu'il a tort. il se sent protégé par son installation arbitraire. Et se croit des droits inébranlables. Comme si l'arbitraire était la norme et qu'il n'y avait rien à redire.
C'est navrant de constater que le simple bon sens, normalement la chose qui devrait être ma mieux répartie du monde huain, soit tout le contraire de ce qu'il devrait être. Pascal, le tout premier, a évoqué ce travers et s'en désespérait. A croire que l'humanité n'a fait aucun pas en avant alors que la modernité, ne serait-ce que technique, devrait enseigner à la planète qu'il faut savoir partager et reconnaître aux autres le droit à l'existence.

Le conflit demeure ce qu'il est depuis le début et s'enferre dans sa propre contradiction. Hélas, l'homme n'est qu'un homme et têtu, il persiste dans des positions intenables. Parce qu'il manque totalement de ce bon sens paysan qui induit un comportement humain.

Ce conflit qui dégénère et n'est pas prêt de s'arrêter entraîne toute la planète dans une spirale de violence qui ne peut qu'aboutir à un conflit généralisé. Voilà plus de 60 ans que le vieux continent s'est reconcilié avec lui-même et connaît une paix apparemment durable. Les leçons de ses deux guerres mondiales semblent avoir porté leurs fruits. Malheureusement, elles ne sont que son apanage et ne portent que leur propre destinée. Les leçons enseignées par l'histoire ne se partagent pas.
En instaurant l'état d'Israël, le vieux continent s'est mêlé de ce qui ne le concernait pas, il n'a fait que débarquer un problème d'appartenance sur un autre continent. C'était plus confortable pour lui, cela lui permettait de se reconstituer. Aujourd'hui où tout s'entremêle et s'imbrique à cause de la mondialisation, le problème se renouvelle. A cause de l'arbitraire. Chacun ne voulant pas céder un seul pouce de terrain, la situation ne peut que s'enliser. Et l'enlisement est tel qu'il ne peut plus se dissoudre dans un quelconque accord entre les parties. Les enjeux de survie sont trop prégnants, les désirs trop contradictoires. Penser qu'il est possible de parvenir à un règlement du conflit grâce aux instances internationales relève de l'utopie. Le monde est embrasé et le feu allumé n'est pas prêt de s'éteindre.
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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 13:42
Le roi est inquiet, très inquiet. La conjoncture le met mal à l'aise et limite ses effets. Cette crise maudite, qui vient d'exploser mieux qu'un pétard du 14 juillet, met sérieusement à mal le monde du travail. Quand on tient les rênes du royaume en promettant faire diminuer les files de chômeurs et que, malheureusement, le système s'enraye et que l'embellie promise échappe à tout contrôle, lorsque le nombre de travailleurs déboutés de leur travail vont pointer dans l'agence la plus proche, le roi en est tout marri. Il n'avait pas envisagé que le malaise mondial, prédit par certains économistes avertis dès 2007, viendrait éclabousser jusqu'à son royaume. Il promettait le plein emploi, un recul du nombre des chômeurs,...
Finies les envolées lyriques, fini l'aplomb d'un omniroi transcendant tous les problèmes, battant en brèche les possibles reculs de l'économie, balayant d'un royal revers de main les pessimistes ! Tout marri de cette débâcle et ne sachant plus contourner le problème ainsi posé, il se lance alors tous azimuts, trouve quantité de nouvelles idées, brandit son bâton de maréchal commandant de toutes les armées et non plus celui du chef suprême uniquement préoccupé de lui. "Sujets, je pense à vous, je me préoccupe de vous, je veux réformer et je réformerai tout. Pour votre bien. Pour le bien du royaume. Il faut se serrer les coudes, se prendre par la main et accepter ce qui nous arrive pour mieux rebondir. Sujets, suivez votre guide suprême, soyez le bâton noueux sur lequel il s'appuiera Sans vous, sans vos efforts - et je sais que vous y consentirez - le royaume ne se relèvera pas. Sujets, je vous aime, je vous comprends, j'agis pour vous".
Oui, le roi a bien des soucis et c'est à son peuple de lui remonter le moral : augmentation des taxes, cadeaux à sa cour, aux usuriers, aux équipementiers de tous poils, mais pas d'augmentation des salaires. Vous connaissez cette ritournelle, " Vivre d'amour et d'eau fraîche" ? "Sujets, serrez les rangs" semble dire le roi, tout en pensant  "serrez-vous la ceinture".
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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 11:44
Il fallait s'y attendre : voilà que le roi, flanqué de son homologue allemand et d'un ancien 1er ministre anglais appellent à la formation d'une gouvernance mondiale de l'économie. On voit bien l'égonomie (néologisme de dérision créé spécialement pour le roi) de cette requête. Le goût du pouvoir absolu est bien présent dans cette tentative de séduction lancée à trois, mais inspirée par un seul. A croire que tout lui monte à la tête dès qu'il en a l'occasion. Et là, avec cette crise qui met tout le monde dans la mouise, l'occasion est trop belle pour la laisser lui échapper.

Qu'il faille revisiter de fond en comble la maison Economie Mondiale ne fait aucun doute. Il est d'ailleurs grand temps qu'on brise les tabous nationaux, qu'on éjecte l'esprit de clocher, qu'on sorte de ses quartiers égoïstes, qu'on en finisse avec les guerres de tranchées de la concurrence. Dans l'absolu, c'est une idée géniale.

Mais en y regardant de plus près, en passant au peigne fin les intentions des uns et des autres, il y a bien en filigrane derrière cette brillante proposition le désir à peine voilé d'établir une nouvelle hégémonie. On connaît aujourd'hui les méfaits engendrés par l'OMC qui imposait aux pays en devenir leur politique agricole. Un gouvernement mondial de l'économie imposerait une dictature encore plus cruelle, même si la volonté affichée des prôneurs d'une telle entité semble être le souci de tous. On sait très bien que cela finirait en eau de boudin pour la plus grande gloire d'un (ou de quelques uns) et pour le plus grand malheur du plus grand nombre.

Apparemment, parce qu'il aime à se rendre intéressant, qu'il a goûté de ses gesticulations sur le plan européen, le roi vise désormais une position internationale de choix.
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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 16:09
Le Hamas rejette la proposition franco-égyptienne. Il ne veut pas entendre parler d'un cessez-le-feu. camouflet pour le roi et son homologue égyptien. Pourtant le pouvoir palestinien en place avait accepté.
Tandis que certains semblent, au moins en apparence, remplis de bonne volonté, d'autres préfèrent que la situation empire. Et tant pis pour tous ces enfants, femmes, hommes qui périssent ! Qu'on soit dans l'opposition, pourquoi pas, mais qu'est-ce donc ces gens qui optent pour la guerre alors qu'on tente de désarmer le conflit ? Quel est l'intérêt de refuser une trève ? Cela signifie-t-il que la paix n'est pas une option intéressante ? Et qu'il faut des milliers de morts et un exode massif ? Ahurissant, mais pas vraiment étonnant. Là encore, c'est très politique puisque pour que le Hamas survive à ce conflit il faut que ce même conflit soit le plus meurtrier possible. Quel enfant terrorisé par les bombes n'optera pas pour la violence quand il atteindra l'âge de tous les dangers, celui de l'adolescence dont on sait qu'on est influençable ? On sait très bien que les traumatismes, conjugués à du lavage de cerveau, sont très efficaces pour embrigader les jeunes.
Est-ce cela que ce parti cherche ? Veut-il soumettre toute une population au désespoir et à la terreur afin qu'il intègre définitivement ses idées  et s'embastille dans son univers violent ?
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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 10:26
Le tout réforme du roi touche à tout. Voilà la Justice en ligne de mire. L'avocaillon de formation connaît bien sa partition. Aujourd'hui, il doit discourir (il adore ça et ce n'est pas sans rappeler un certain tribun du royaume aussi bien formé que lui par l'avocature) de la transformation du juge d'instruction en juge de l'instruction. Apparemment, cela n'a rien de bien tonitruant. C'est oublier que l'introduction de l'article élidé change tout. Subtile manoeuvre langagière, mais pas seulement. Ce n'est qu'un complément de nom, certes, cependant, la signification de cette vairiation syntaxique semble signifier que l'indépendance de la justice est remise en question. En quoi exactement, je l'ignore ? Mais si la magistrature proteste, si l'opposition s'insurge, il doit bien exister des raisons fondamentales. Pour preuve, c'est que les caciques en la matière montent au créneau et défendent cette nouvelle réforme.
Avez-vous déjà oublié que le roi, lors de la sempiternelle présentation des voeux au royaume, a maintenu que toutes les réformes seraient menées tambour battant avant la fin de l'année ? Celle du juge d'instruction n'échappe donc pas au filtre imposé de la  mandature royale. Il faut tout changer, quitte à réduire tout à rien du tout.
Que le code Napoléon soit caduc est avéré. Mais pourquoi, pourquoi, alors qu'on en parle depuis longtemps choisir maintenant de tout casser ?
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