Il est question de geler les avoir russes domiciliés sous le ciel de Grande-Bretagne. S'y trouvent les avoirs de Poutine himself et de Lavrov. Tiens, tiens... Dommage que Boris n'ait pas songé plus vite à informer le reste de la communauté européenne...
Sans doute trop facile, mais toucher les despotes au porte-feuille, ça doit bien faire grincer des dents. Puisque ce fichu Vladimir arrose consciencieusement l'Ukraine, il mérite bien une petite leçon. Certes, il doit avoir placé dans d'autres banques quelques biftons, juste histoire de diversifier ses placements. Et, pour ses vieux jours, avoir amassé un joli pactole qui, vraisemblablement, lui aura rapporté autre chose que de simples picailloux...
Mais ces sanctions ne suffisent pas : pour enrayer l'escalade, il faut que soit prise la décision d'épauler l'Ukraine avant qu'il ne soit trop tard. Certes, ce pays n'est pas partie prenante puisque les conditions d'entrée n'étaient pas au rendez-vous. Mais faut-il attendre le désastre le plus total pour bouger ne serait-ce que le petit doigt ?
Une bonne nouvelle cependant (à condition que ce soit le cas) : la Turquie a décidé d'obstruer les accès de la mer noire afin d’empêcher les navires russes d'attaquer par voie maritime. Une manière pour Erdogan de redorer son blason et sans doute de dissiper les doutes à son sujet et peut-être intégrer l'Europe...
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