Oui, je sais, il n'est pas encore parti. Mais ce n'est pas le pire : voilà que sa famille tente, pour les uns, qu'il se représente dans 4 ans, pour les autres qu'il accepte sa défaite. Eh oui, l'unanimité familiale n'existe pas. Même chez les Trump...
Il semble que son fils (dont je ne me rappelle pas le prénom) espère un jour prendre la place occupée par son géniteur. Oui, il a des ambitions politiques. Alors, que son père adopte un comportement qui contrarierait ses ambitions futures n'est pas chose, à ses yeux, souhaitable.
Pas dit que Trump Junior soit entendu, le pater familias qui vient de prendre une claque n'a aucune envie de s'effacer de la vie politique. Et s'acharnera autant qu'il le pourra pour emmerder cette nouvelle présidence tant il est persuadé d'être le meilleur d'entre tous. Au fond, il est même persuadé qu'il est irremplaçable. Et, d'une certaine manière, il a un peu raison : il a fait le jeu des extrêmes et a divisé durablement son pays. Il faudra de la patience et de l'engagement pour restaurer une société désormais scindée en deux et qui ne sait plus se parler.