Quand le 31 octobre s'éteindra, il ne restera plus que trois jours pour que l'élection aux USA ait lieu. Trois jours qui s'écouleront lentement et en même temps dans la frénésie. On ne peut qu'être aux aguets face à une élection qui, peut-être, changera quelque chose pour l'intégralité de la planète.
L'éviction de Trump semble dans les clous. Tout du moins si les différents sondages ne se sont pas trompés : Donald s'est tellement trumpisé qu'il est désormais au bord de l'échec. Mais on ne peut pas crier victoire avant qu'on ait connaissance des résultats. Il reste beaucoup d'inconnues dans cette affaire : le nombre réel de participants, le nombre de républicains qui auront voté pour Biden, le nombre d'états remportés par chacun des adversaires dont certains sont cruciaux puisque ce sont les états qui élisent leurs représentants et que l'ensemble n'est pas égal d'un état à l'autre... Bref, il ne suffit pas de croiser les doigts pour que la victoire de l'adversaire de Trump soit effective.
Bien que notre situation n'ait rien d'enviable en ce moment, je ne peux me désintéresser de cette élection qui peut déboucher sur un désastre qui mettrait à genoux l'ensemble des peuples qui n'ont pas besoin d'une catastrophe supplémentaire, le virus étant déjà bien trop prégnant. Je veux croire que Trump essuiera une franche calotte car ce n'est qu'ainsi que nous retrouverons un peu de souffle, l'asticot susdit étant du genre à jeter de l'huile sur le feu. Il prétend déjà qu'il fera tout pour que son adversaire ne puisse le déloger. Ah la manie des grandeurs, le besoin de paraître, de dominer, de mettre à genoux les autres... et de se faire croire qu'on est le meilleur d'entre tous...