En France, 8078 morts pour cause de coronavirus dont 2189 dans des ehpad.
Sur la planète, 1,2 millions de personnes contaminées. 100 000 rien que pour hier.
C'est morbide de comptabiliser les morts, c'est vrai, mais pourquoi cacher des chiffres qui sont le reflet d'une contagion planétaire ?
Quel que soit son rang dans la société, personne n'est épargné : ainsi Boris Johnson, touché par le virus, vient d'être hospitalisé pour raison de fièvre persistante.
Et, tandis que le corps médical se bat pour sauver des vies, le directeur de l'ARS de Nancy maintient les suppressions de lits et de postes déjà prévues dans le cadre du COPERMO (en clair : Comité de la performance et de la modernisation) pour de l’offre de soins hospitaliers). Une logique financière imparable, mais humainement insupportable.
Dans l'après qui attend notre pays, si ces directeurs entendent maintenir une offre faite de suppressions tant en postes qu'en personnels, ça promet... Bizarrement, j'avais cru entendre que tout serait revu et corrigé. J'ai dû rêver...