26 avril 2017
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Mettez un homard dans un casier. Il est beau, bien gros, promet de belles chairs. Sauf que le homard, quand il est prisonnier, ne se nourrit plus et maigrit. Ce qui fait sa valeur, ce n'est pas sa carapace, ni ses pinces. Quand son intégrité physique se résume à une peau de chagrin, il n'a plus aucun intérêt. En est-il de même de nos hommes politiques ? Faut-il tous les mettre dans un même panier de crabes, les faire jeûner pour les vendre ensuite comme de simples coquilles vides ?