4 février 2009
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09:30
On ne laissera pas tomber... Facile de parler et de promettre. Rien de plus facile que de reprendre sa promesse. Le roi ne cesse de s'engager, il soulève l'espoir et la masse ouvrière y droit dur
comme fer. Vive la mondialisation qui fait racheter par des groupes étrangers les usines françaises ! Toujours parce qu'il faut avant tout amasser des bénéfices, ces entrepreneurs venus
d'ailleurs n'ont pas souci de la masse salariale qu'ils sacrifient sans état d'âme. Combien d'usines vont encore voir leurs effectifs diminuer de moitié si ce n'est totalement ? Le roi peut
toujours promettre qu'il ne laissera pas tomber ces français qui aiment leur travail, ces sujets qui font tourner les entreprises et apportent aux caisses de l'état des subsides intéressants.
La dimension humaine n'est jamais prise en compte dans sa totalité. Bercer de mots sur un ton convaincant ces pauvres gens qui voient leur outil de travail disparaître ne change pas la face des événements. La crise actuelle accentue les fermetures partielles, à charge pour l'état de régler le RSA, les retraites, les formations., les reclassements... Où va-t-on aller pécher l'argent qui permettra à ceux qui se retrouvent à la rue de ne pas sombrer complètement ? Le royaume est déjà endetté (comme tous les autres d'ailleurs), il ne peut faire davantage.
Le roi promet, il évite les émeutes, puis il avoue son impuissance. Et c'est vrai qu'il est impuissant à résoudre d'un coup de baguette tous les dossiers qui s'empilent sur son bureau. Il n'a pas les moyens de décélération pour les licenciements qui pointent à l'horizon chaque jour.
Quand le royaume serat totalement raplapla, le roi promettra qu'il se relevèra. C'est si facile de promettre. Mais peut-être faudrait-il cesser de noyer le poisson et admettre qu'il faut changer de politique et surtout de système.
La dimension humaine n'est jamais prise en compte dans sa totalité. Bercer de mots sur un ton convaincant ces pauvres gens qui voient leur outil de travail disparaître ne change pas la face des événements. La crise actuelle accentue les fermetures partielles, à charge pour l'état de régler le RSA, les retraites, les formations., les reclassements... Où va-t-on aller pécher l'argent qui permettra à ceux qui se retrouvent à la rue de ne pas sombrer complètement ? Le royaume est déjà endetté (comme tous les autres d'ailleurs), il ne peut faire davantage.
Le roi promet, il évite les émeutes, puis il avoue son impuissance. Et c'est vrai qu'il est impuissant à résoudre d'un coup de baguette tous les dossiers qui s'empilent sur son bureau. Il n'a pas les moyens de décélération pour les licenciements qui pointent à l'horizon chaque jour.
Quand le royaume serat totalement raplapla, le roi promettra qu'il se relevèra. C'est si facile de promettre. Mais peut-être faudrait-il cesser de noyer le poisson et admettre qu'il faut changer de politique et surtout de système.