Selon un spécialiste des lois, "Pour être légales, les mesures de police administrative doivent être adaptées, nécessaires et proportionnées. Dans certaines circonstances, une interdiction des dispositifs sonores peut être justifiée au motif du trouble à l'ordre public, explique-t-il à franceinfo. Cela s'appliquerait à des événements comme un concert ou une cérémonie funéraire. Mais une telle interdiction n'est pas adaptée aux circonstances de la visite d'Emmanuel Macron. Il y a vraiment un détournement du dispositif légal visant à protéger le chef de l'État de protestations symboliques et sonores de type politique".
Ah les casseroles, elles n'ont pas fini d'être commentées. Et encore moins de ressurgir à chaque sortie du président. Un moyen comme un autre pour se faire entendre... peut-être...
Autre potin mondain : il se dit que Madame Borne va devoir chercher des alliances au coup par coup. Selon les sujets, elle tentera de réunir quelques gugusses pour faire passer d'autres lois (il y en a quelques unes en souffrance, édictées par le chef de l'état à sa première ministre qui devra, bon gré mal gré, œuvrer pour réunir certains élus plus sensibles que d'autres sur certaines réformes. L'itinérance ne fait que commencer... Pour quels résultats ? Voilà un chemin de Golgotha vraiment particulier.