Et même très con. Non content d'avoir racheté l'oiseau bleu, licencié bon nombre des employés, voilà que ce monsieur a levé le veto de l'interdiction pour Trump d'y traficoter. Pour l'instant, la réponse du grand "flamboyant" est niet.
Hum ! Certes, il s'est créé un réseau social, mais pourra-t-il résister au désir d'élargir davantage un auditoire de convaincus, d'abandonner son réseau personnel et rejoindre celui du milliardaire ? Entre gens friqués, on ne peut que s'entendre. Or, Si Trump ne manque pas de finances, ce nouveau patron de touiteur est également fort bien pourvu. Et ce serait pour lui des gains supplémentaires si les aficionados trumpiens de la première heure revenaient en masse.
Oui, on peut être riche et con en même temps : prétendre attirer des esprits déjantés pour s'enrichir sans tenir compte des dégâts potentiels, voilà qui fait preuve de beaucoup de cynisme.