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10 novembre 2022 4 10 /11 /novembre /2022 10:15

... certains individus s'arrogent des droits indus, surtout quand ils sont - peut-être un peu trop - riches.

C'est ce qu'il vient de se passer : les licenciements massifs des employés d'Elon Musk.

https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/vir%C3%A9s-du-jour-au-lendemain-dans-la-tech-est-il-si-facile-de-licencier-aux-etats-unis/ar-AA13V0C1?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=33027679fdc7472188c07fc58a5953bb

Une brutalité incompréhensible quant au déroulement des licenciements, à savoir, sans préavis, du jour au lendemain.

Moralité : le pouvoir excessif, c'est l'argent et l'emploi qu'il en est fait.

Au fond, même si c'est dur à vivre pour ces nouveaux chômeurs remerciés de façon plus que cavalière par un roitelet imbécile, c'est sans doute mieux que d'être persécuté par un patron impitoyable, qui exploite la vie  de ses personnels, ne tenant aucun compte de leur vie privée. Et encore moins des problèmes inhérents à ce que l'on ne peut considérer que comme des licenciements abusifs.

Et dire qu'on se plaint en France... Nous devrions être contents d'avoir, malgré les difficultés, la chance de bénéficier, grâce aux lois d'un état protecteur, d'un parapluie qui permet de ne pas sombrer brutalement dans la misère. Car, même s'il n'est pas parfait, le système français vaut mieux que la jungle de ces grands patrons américains qui se contrefichent cyniquement de leurs employés.

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commentaires

T
on en est même au point que certains préfèrent rester chômeurs que travailler !
Répondre
L
Je sais et cette façon de s'accrocher au chômdu ne date pas d'hier. Il y a plus de 30 ans de cela, j'ai découvert qu'un certain Tatane n'avait jamais travaillé et percevait des prestations sociales. En bref, il profitait du système et se permettait de parader avec un manteau en peau de mouton doublé de la laine dudit cochon. Je le rencontrais sur le marché et quand je m'étonnais au sujet du susdit, les langues (pas forcément vipérines) allaient bon train. Il était connu de tous et n'avait pas franchement bonne réputation (il courait après tous les jupons, avait été marié puis très vite divorcé (ah les potins vont bon train quand les langues se délient), n'avait pas d'enfant et se contentait de vivre un peu comme un nabab et semblait toiser les passants avec un certain dédain, comme s'il se prenait pour un génie. ou d'une espèce supérieure. <br /> Donc, il faut bien l'admettre, certains sont des pros du chômage, mais il sont bien moins nombreux que ce que les langues répandent (sans doute une part de jalousie vu la vêture du bonhomme; J'en ai connu un autre qui vivait avec sa femme et ses cinq enfants dans un studio de 50 m2 appartenant à son père.et roulait carrosse même pour amener ses enfants à l'école distante d'environ 200 m de son logis.<br /> Bref, dieu merci, ce n'est pas le plus grand nombre.