On le sait, Poutine est un dictateur. Certains tentent de le contourner, mais quand une entreprise comme Gogol répond par un détournement de certains messages politiques, c'est très significatif de l'esprit russe actuel. Prenons Navalny, emprisonné qui dispose tout de même d'un téléphone et peut envoyer des messages via Twitter. la pression exercée par le pouvoir central induit, de fait, la possibilité de supprimer X ou Y qui déplaît. Une complicité absurde ? Oui et non : il semble que ce soit le traitement fondamental de ce circuit qui soit en cause. Du moins est-ce ce qui se dit. C'est un peu facile d'incriminer un moyen de "communication" qui sévit partout sur la planète. Il est évident qu'une pression politique s'exerce à "dérouter" autant que possible tout ce qui pourrait "distraire" les électeurs. Alors, Twitter, complice ou pas ?