Des idiots, dieu sait qu'ils sont nombreux, mais certains davantage que d'autres. A la limite du raisonnable, ils tombent dans la folie contestataire. Étrange comportement surtout quand tout est bouclé et que plus rien ne peut entraver la bonne marche du pays et la mise en place d'une autre politique, d'une politique moins erratique que celle adoptée précédemment.
Il y avait le crépuscule des dieux, il y a désormais le crépuscule des idiots, à commencer par l'idiot de service. Ce crépusculaire individu qui ne sait que nier ce qu'il est, qui refuse d'être évincé et donc de se retirer avec dignité. Une pantalonnade grotesque à souhait. A l'image du bonhomme. Est-ce vraiment un clown ou bien derrière la façade se cache-t-il un stratège pervers ? On est en droit de se poser la question : tout semble avoir été orchestré de manière à laisser une empreinte indélébile.
Je viens de découvrir un nouveau mot : provotrumpquer. J'avoue que cela m'a fait rire : ce néologisme est représentatif de l'attitude du vaincu qui n'a de cesse de maintenir mordicus que l'élection était truquée... Le créateur de ce mot évocateur a permis d'élargir le champ lexical concernant ce déjanté. Et ma foi, il est plutôt bien trouvé. : l'adjectif qui en découle est tout simplement provotrumpcant. Mignon, n'est-ce-pas ?