Des grâces en pagaille

Il profite des derniers jours de sa présidence pour gracier ceux qui lui ont rendu service, dont son gendre et le père de ce dernier. Ce qui irrite tout le monde, qu'ils soient républicains ou démocrates. Et ce n'est sans doute pas fini : têtu comme un vieux mulet, il tient à entretenir de bonnes relations avec ses courtisans. En vue de 2024. Miser précocement pour prétendre à un second mandat, voilà qui augure de la suite. Il tient tout particulièrement à sa notoriété et entend revenir sur la scène nationale et internationale.

Mais ces "remises de peine" ne lui serviront vraisemblablement à rien : une majorité d'électeurs, tous bords confondus, entendent bien ne pas renouveler l'expérience. Et jusque dans son propre camp.

Comments

[trublion]

il y aurait gagné en ne faisant pas traîner les choses, pour de toute façons, aboutir au même résultat