Rien que de très normal donc : le confinement est réinstauré. Il faut bien reconnaître que la recrudescence de l'épidémie (et pas que sur notre sol) défie toutes les statistiques à cause de l'invisible virus qui détient, semble-t-il, le record de contamination.
Oui, ce sont de nouvelles contraintes avec ce que tout cela comporte d'ennui, de crainte, de restriction. Pouvait-il en être autrement ? Non : les augures, pour certains, se sont trompés puisque il y a bien une seconde vague. Et apparemment plus virulente que la première.
On nous dit qu'il faut apprendre à vivre avec cet infiniment petit (et même microscopique), qu'il est là pour longtemps, très longtemps. Selon certains, tant qu'il n'y aura pas de vaccin, on sera saucissonnés, contraints, restreints... Alors, puisque ce machin invisible et pernicieux évolue comme tout organe vivant, comment peut-on espérer un vaccin qui ne sera pas, du fait de son caractère imprévisible, totalement efficace ? Sans compter qu'il ne sera peut-être pas sans conséquences pour certains dont l'organisme le rejettera. Les intolérances, ça existe, ainsi que les allergies et autres particularités susceptibles de nuire au "bon usage" de la vaccination.
Mais on en est encore loin et peut-être que d'ici là ledit emmerdeur actuel aura pris ses quartiers dans le cosmos...