Le grand couillon du Kremlin persiste et signe. Têtu-bourrique jusqu'au plus petit de ses orteils. Malgré la résistance ukrainienne et les échecs successifs de l'invasion russe dans tout le pays.
Mais ça ne se limite pas à cette guerre territoriale. Selon certains experts plus au fait que je ne le suis, l'intention poutinienne est d'aller au-delà de l'Ukraine car il entend reconstituer l'ex-empire soviétique. Ah, ce désir fou dans la tête d'un aliéné qui se fournit désormais en Chine car, malgré les usines d'armements qui, hélas pour lui, sont à la traîne : à force d'envoyer les hommes au front, les usines ne disposent plus d'assez de main d’œuvre. A force d'expédier sur le front des soldats mal formés, la guerre ne se termine pas, et même elle s'enlise. Et même si l'Ukraine envisageait d'entamer des pourparlers pour retrouver la paix, il ne fait nul doute que le déjanté en chef ne renoncerait pas à reconquérir ce qu'il estime être partie intégrante de la Russie. Ses velléités de domination ici et là passeraient plusieurs frontières dont celles de l'Europe, cette empêcheuse de tourner en rond.
Autre point qui n'autorise pas à l'enthousiasme, c'est que si le très déjanté Trump gagne la prochaine élection, l’Europe se retrouvera seule face à une possible guerre décidée par le Kremlin.
Quand on parle de réarmement, j'ose espérer que nos usines spécialisées tournent à plein régime afin que l'on soit en mesure de contrer toute offensive quelle qu'elle soit.