17 août 2009
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18:56
Au 15 août, en principe, le temps vire pour s'acheminer vers l'automne. Cette année, le 15 août est passé de
deux jours et voilà qu'on nous annonce un retour de canicule. Alerte orange sur 4 département dont le Rhône, la Drôme,...
Pffft, c'est vrai qu'il fait chaud. J'évite de sortir avant la tombée de la fraîche (pas avant 22h en fait). Ben quoi, je me ménage. Mon âge n'est pas si avancé, cependant mieux vaut être précuationneux par ces temps un peu trop chauds. Je bois comme un trou (je précise tout de suite qu'il s'agit de la bonne vieille eau du robinet). Et surtout j'évite de trop en faire. D'ailleurs, j'ai passé la journée le cul devant l'ordi, sortant vaguement pour faire un ou deux achats indispensables pour survivre jusqu'à demain. Eh oui, je mange et pas que de la salade. Mais je ne fais pas d'excès.
Bon, nous disions qu'il faisait un peu trop chaud. En début d'après-midi voilà t'y pas qu'un bruit se fait entendre. Je lève le nez de l'écran et regarde. Tiens, il pleut. C'est vrai que le temps est à l'orage, ça se sent depuis ce matin. Le thermomètre risque d'exploser si ça continue. Tiens, ce n'est pas de la pluie, mais... de la grêle. Et des grêlons plutôt gros. Ca tape dur sur le macadam. Les gens s'abritent comme ils peuvent, préférant un abri de fortune à une saucée monstre. 10 minutes plus tard, plus rien. Ca n'a fait que passer. Toute la chaleur monte de l'asphalte et prend à la gorge. Je suis en plein courant d'air mais ne sens rien.
Encore un coup pour rien. Un vague tonnerre dans le lointain, ces grêlons qui fuient mon espace de ciel pour aller dieu sait où. Pourrait pas pleuvoir vraiment ? Que ça rince les rues et l'air ?
Paraît que le thermomètre afficherait entre 22 et 24 degrés cette nuit. Ras le bol de ce Celsius qui monte, monte, monte mais redescend nettement moins vite qu'il ne grimpe. Encore une invention de génie dont on se passerait, ainsi on ignorerait les bizarreries du temps.
Je crois savoir que pompiers, hôpitaux sont sur le pied de guerre : 2003 hante leurs souvenirs. On nous l'avait annoncée cette canicule, un été plus chaud qu'en 2003. Heu... ! Oooooooooooui !
En fait, il fait lourd, il se met à venter, il pleuvote, il refait chaud, certaines nuits sont relativement fraîches, mais je ne souffre pas comme il y a six ans. A moins que je ne sois dans un état second...
Bon, on fera avec. Comme d'habitude...
Pffft, c'est vrai qu'il fait chaud. J'évite de sortir avant la tombée de la fraîche (pas avant 22h en fait). Ben quoi, je me ménage. Mon âge n'est pas si avancé, cependant mieux vaut être précuationneux par ces temps un peu trop chauds. Je bois comme un trou (je précise tout de suite qu'il s'agit de la bonne vieille eau du robinet). Et surtout j'évite de trop en faire. D'ailleurs, j'ai passé la journée le cul devant l'ordi, sortant vaguement pour faire un ou deux achats indispensables pour survivre jusqu'à demain. Eh oui, je mange et pas que de la salade. Mais je ne fais pas d'excès.
Bon, nous disions qu'il faisait un peu trop chaud. En début d'après-midi voilà t'y pas qu'un bruit se fait entendre. Je lève le nez de l'écran et regarde. Tiens, il pleut. C'est vrai que le temps est à l'orage, ça se sent depuis ce matin. Le thermomètre risque d'exploser si ça continue. Tiens, ce n'est pas de la pluie, mais... de la grêle. Et des grêlons plutôt gros. Ca tape dur sur le macadam. Les gens s'abritent comme ils peuvent, préférant un abri de fortune à une saucée monstre. 10 minutes plus tard, plus rien. Ca n'a fait que passer. Toute la chaleur monte de l'asphalte et prend à la gorge. Je suis en plein courant d'air mais ne sens rien.
Encore un coup pour rien. Un vague tonnerre dans le lointain, ces grêlons qui fuient mon espace de ciel pour aller dieu sait où. Pourrait pas pleuvoir vraiment ? Que ça rince les rues et l'air ?
Paraît que le thermomètre afficherait entre 22 et 24 degrés cette nuit. Ras le bol de ce Celsius qui monte, monte, monte mais redescend nettement moins vite qu'il ne grimpe. Encore une invention de génie dont on se passerait, ainsi on ignorerait les bizarreries du temps.
Je crois savoir que pompiers, hôpitaux sont sur le pied de guerre : 2003 hante leurs souvenirs. On nous l'avait annoncée cette canicule, un été plus chaud qu'en 2003. Heu... ! Oooooooooooui !
En fait, il fait lourd, il se met à venter, il pleuvote, il refait chaud, certaines nuits sont relativement fraîches, mais je ne souffre pas comme il y a six ans. A moins que je ne sois dans un état second...
Bon, on fera avec. Comme d'habitude...