19 mai 2009
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11:13
Oui, c'est bien aujourd'hui que je pars en voyage. Si je sais quand je pars, je ne sais toujours pas quand je
reviens. Mais aussi quelle idée de partir au moment de l'ascension... !
Je vais assez loin, donc pas moyen de rentrer à pied ou à bicyclette. Restent la voiture, le train, le car. Pour l'heure, ces moyens de transport sont censés être à ma disposition, mais je n'ai encore rien décidé. Peut-être rentrerai-je plus tard que je ne l'avais annoncé, peut-être que je ne rentrerai pas du tout ou pas avant bien longtemps. En fait, j'ai envie de vivre à ma fantaisie, selon ce que les jours à venir me proposeront comme surprises.Car tout est là. Quand on part vers un ailleurs, on attend qu'il nous apporte tout, qu'il nous forge un autre regard, d'autres envies. Et surtout le dépaysement qui permet de se retrouver face à soi-même, de se redécouvrir. C'est ce retour sur soi qui fait que l'on continue d'avancer quelles que soient les circonstances. Alors pratiquons la rupture (un mot trop souvent répété et jamais appliqué au sens propre) ! Jetons derrière les haies de troënes (le parfum qui s'en dégage est écoeurant à souhait) tout le superflu, l'inutile, l'encombrant. Jouons au vide-grenier (ça aussi, c'est très mode) en nous débarrassant de ces petits riens qui s'entassent sans rien apporter. Reprenons notre souffle pour vivre différemment et supporter ce qui nous attend (et là, on sait bien qu'on sera croûtés à notre corps défendant).
Vive les voyages (il paraît que ça forme la jeunesse) !
Je vais assez loin, donc pas moyen de rentrer à pied ou à bicyclette. Restent la voiture, le train, le car. Pour l'heure, ces moyens de transport sont censés être à ma disposition, mais je n'ai encore rien décidé. Peut-être rentrerai-je plus tard que je ne l'avais annoncé, peut-être que je ne rentrerai pas du tout ou pas avant bien longtemps. En fait, j'ai envie de vivre à ma fantaisie, selon ce que les jours à venir me proposeront comme surprises.Car tout est là. Quand on part vers un ailleurs, on attend qu'il nous apporte tout, qu'il nous forge un autre regard, d'autres envies. Et surtout le dépaysement qui permet de se retrouver face à soi-même, de se redécouvrir. C'est ce retour sur soi qui fait que l'on continue d'avancer quelles que soient les circonstances. Alors pratiquons la rupture (un mot trop souvent répété et jamais appliqué au sens propre) ! Jetons derrière les haies de troënes (le parfum qui s'en dégage est écoeurant à souhait) tout le superflu, l'inutile, l'encombrant. Jouons au vide-grenier (ça aussi, c'est très mode) en nous débarrassant de ces petits riens qui s'entassent sans rien apporter. Reprenons notre souffle pour vivre différemment et supporter ce qui nous attend (et là, on sait bien qu'on sera croûtés à notre corps défendant).
Vive les voyages (il paraît que ça forme la jeunesse) !