27 octobre 2008
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Je regarde les journaux, j'écoute les journalistes développer la crise sous toutes ses formes et sur tous les tons. Pas de doute, nous sommes bien mal partis. Les études montrent déjà que les
dépenses sont restrictives et qu'on va davantage à l'essentiel. Tout le monde se rend dans les surfaces à prix réduits (ces fameux prix discount pour parler bien français). Toutes les classes
sociales se retrouvent aux mêmes caisses parce que le pouvoir d'achat a chuté et qu'il faut à tout prix (réduit, de préférence) manger matin, midi et soir. Plus question même pour des familles
aisées de faire perdurer le prix fort.
Certains parviennent, en réduisant leur train de vie, à placer des économies, la plupart de la population est réduite au centime zéro chaque fin de mois. Pour ceux-là, la galère est déjà bien partie. Pour les premiers, cela viendra un jour ou l'autre. Tous seront bouffés par cette économie vacillante déclenchée par des banquiers peu scrupuleux et avides de gros sous. La partie est inégale depuis le début.
D'un côté, on claironne que le rayonnement de la France exige des sacrifices, de l'autre on préconise des efforts financiers. En bref, tout est déjà joué et l'ère du cataclysme social a déjà un pied sur le pédalier pour s'enfoncer plus vite dans la dépression.
Certains parviennent, en réduisant leur train de vie, à placer des économies, la plupart de la population est réduite au centime zéro chaque fin de mois. Pour ceux-là, la galère est déjà bien partie. Pour les premiers, cela viendra un jour ou l'autre. Tous seront bouffés par cette économie vacillante déclenchée par des banquiers peu scrupuleux et avides de gros sous. La partie est inégale depuis le début.
D'un côté, on claironne que le rayonnement de la France exige des sacrifices, de l'autre on préconise des efforts financiers. En bref, tout est déjà joué et l'ère du cataclysme social a déjà un pied sur le pédalier pour s'enfoncer plus vite dans la dépression.